24 Hour Nostalgia People
Aujourd’hui, digression à l’occasion de la lecture de Shadowplayers: The Rise & Fall of Factory Records de James Nice (2010). Le livre revient sur l’aventure du label Factory Records, de sa création à la fin des années 70 à son histoire mouvementée au cours des deux décennies suivantes.
Charlot 15:05 le 25 janvier 2012 Permalien
Coooooool…
Et c’est vrai que le punk et ses rejetons demeurent la source unique d’inspiration, semble-t’il. Ou alors, je suis déjà un vieux con et ça s’arrose!
Bécots
morningmeeting 22:52 le 25 janvier 2012 Permalien
T’es un vieux con. Ça s’arrose. On se fait ça quand ? Depuis le temps…
gast 23:19 le 25 janvier 2012 Permalien
Tu es un jeune vieux con en fait et s’il faut arroser quelque chose, je viens
Manuchon 22:06 le 30 janvier 2012 Permalien
Ringard sectaire aux goûts bizarres ?
En tous cas moi j’adoooore !
J’arroserai bien quelquechose moi aussi.
Pour le reste, le temps ne fait rien à l’affaire, quand on est con, on est con!
morningmeeting 09:45 le 31 janvier 2012 Permalien
Moi qui croyais qu’on n’était con que quand on était jeune !!